Bougie parfumée Pey-Berland 210g

55,00€

Une cathédrale, une tour majestueuse, gardienne du temps, une vierge à l’enfant dorée, Notre-Dame d’Aquitaine domine la Place Pey-Berland. Ombres et lumières dansent sans fin. Les pavés, quant à eux, murmurent leurs secrets…

Parfum : Encens • Bois ciré

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Expédition prévue le 17 Septembre

triangle

Pyramide Olfactive

  • Note de tête

  • Violette - Jasmin

  • Note de cœur

  • Encens - Ciste

  • Note de fond

  • Bois de cèdre - Musc - Vanille - Coumarine

  • Mixte soja coco
  • Sans OGM ni huile de palme
  • Sans pesticides ni herbicides
  • Végan

Pour profiter pleinement de votre bougie parfumée, 4 conseils d’utilisation pour une combustion et une diffusion de parfum optimales :

Au-delà des conseils de sécurité habituels,

N°1 : lors de la première utilisation, faire brûler votre bougie jusqu’à obtenir un lac de cire, toute la surface doit être liquide; par la suite éviter de laisser brûler plus de 3 heures consécutives

N°2 : couper régulièrement la mèche pour maintenir une longueur de 3 à 5 mm

N°3 : éviter de souffler trop brutalement pour l’éteindre ; vous risquez de coucher la mèche dans la cire. Si c’est le cas, il vous suffira de la redresser

N°4 : la mèche doit toujours être au centre de votre bougie. Recentrez-la si nécessaire

Caractéristiques produit

Parfum

Parfum de Grasse concentré à 12%

Composition

Sans substance CMR cancérogènes - mutagènes - reprotoxiques

Dimensions

Hauteur 9cm - Diamètre haut 8cm - Diamètre bas 6,5cm

Poids de cire

210g

Durée de brûlage

55h

Mèche

100% coton tressé garanti sans plomb

Un peu d'histoire...

La Place Pey-Berland se dévoile comme un véritable joyau architectural et culturel.

La Tour, couronnée de son clocher, construite à l’initiative de l'archevêque de Bordeaux, Pierre Berland, est toujours restée isolée du reste de la cathédrale Saint-André. Cela pour ne pas transmettre à la cathédrale les vibrations des cloches, qui pourraient fragiliser l'édifice construit sur un sol marécageux.

Superbement sculptée, elle fut vendue comme bien national pendant la Révolution et transformée en fabrique de plombs de chasse et magasin à fourrage. La tour redevient édifice religieux en juin 1851.

Elle est également classée au patrimoine mondial de l'Unesco au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle.